Son mari l’appelait Margús, le surnom est resté. Ses petits-enfants, Juan et Alexandre, ont tenu à rendre hommage à leur grand-mère colombienne en donnant son nom à ce bar à tapas. Aux murs rose pâle de l’arrière-salle sont accrochées, à l’infini, des photos de Maria Margarita, son sourire et sa fière allure. Au son d’une musique latino, elle nous regarde siffler un rouge nature d’Argentine et palper du taco de langue de bœuf, de la hampe de bœuf au chimichurri et des gambas au fenouil. Le décor et les hauts plafonds nous rappellent un café de Buenos Aires : on est bien, chez Margús. Il faudra revenir un vendredi soir pour le concert de mariachis quand le bar bouillonne, déborde, comme en Amérique latine.
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