13h20. Une goutte de sueur perle sur notre front : le compteur affiche un « 02 » à nous glacer le sang. Voyons voir, quatre personnes font la queue devant nous, si on en double une et qu’on fait tomber l’autre, on devrait réussir à décrocher le Graal : la dernière pizza du déjeuner. Chez Dalmata, il y a 101 pâtons napolitains par service, et pas un de plus.
Mission accomplie, on pénètre dans l’antre pastel, la faim au ventre. L’odorama nous guide jusqu’à Giana, une belle galette mouchetée (façon dalmatien donc) à la fior di latte onctueuse et aux aubergines. On en aboierait presque de bonheur.
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