Bien loin du culte de la perfection, le Japon célèbre ses failles et ses cicatrices depuis des siècles. À tel point que le pays a érigé le wabi-sabi – raffinement attribué à l’empreinte du temps – au rang de philosophie. Le même esprit anime l’art du kintsugi. Apparu il y a 500 ans, il consiste à réparer un objet fissuré en soulignant ses fêlures à la feuille d’or. Une certaine idée de l’acceptation de soi que certains appliquent volontiers à leur quotidien.
Texte : Hélène Rocco
Illustration : André Derainne
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